Lorsque l enfant parait

Nombre de messages : 321 Date d'inscription : 28/05/2007

lyris a écrit:: Lyris s’active devant la porte de l’école, quand elle voit venir à elle un prêtre accompagné d’un enfant.

Bonsoir ma fille, pourriez vous m’aider ?

Lyris s’incline légèrement… Bien le bonjour mon Père, avec plaisir si je le peux.

Le prêtre semble fatigué et hésite un moment…. Voilà, je suis à la recherche d’un homme, le Sieur Faster. Le connaissez vous ma fille ?

Oh oui bien sûr, Faster est mon ami.

Pourriez vous m’indiquer le chemin de son logis s’il vous plait ? Le prêtre vacille et s’essuie le front.

Voyant le vieil homme épuisé, Lyris lui tend la main… Venez mon Père prenez un peu de repos, assieds vous un moment.

Faster, Faster, mais que lui veut ce prêtre ?

Faster doit être aux champs à cette heure, sans être curieuse, pourquoi le cherchez vous ?

Le prêtre tire alors à lui l’enfant qui est resté en arrière tenant en ses bras une toile de chanvre secouée de mouvements réguliers.

Ma fille, c’est une triste histoire. Le jeune garçon ici présent s’appelle Robin, sa mère est morte des fièvres il y a quelques semaines. Cette femme était fille mère. Le prêtre se signe et murmure brebis égarée, paix à son âme ….. Avant de mourir elle m’a avoué avoir caché sa grossesse au jeune homme qui l’avait séduite. Elle m’a confié son fils et m’a demandé de l’amener à son père.

Lyris regarde le prêtre, étonnée… Et en quoi Faster va-t-il pouvoir vous aider ?

Ma fille, le Sieur Faster est le père de Robin !

Commentttttttt ? Que dites vous là mon père ?

Je dis que le Sieur Faster est le père de ce garnement, maintenant dites moi où le trouver j’ai encore moult lieues à faire pour rentrer chez moi.

Lyris a du mal à réaliser ce qu’ elle vient d’apprendre et pense de suite à son amie Lancelot …… ben nous voilà dans de beaux draps, l’ire de Lancelot va être sans pareil.

De légers grognements sortent de la toile que tient l’enfant le regardant elle lui demande Qu’as-tu dans cette toile petit ?

Robin levant les yeux regarde Lyris d’un air malicieux …. C’est Vif mon goupil.

Un goupil ? ! Tu as un goupil ?

Le prêtre se lève … et oui ma fille, un goupil qui ne quitte jamais Robin et qui est aussi gredin que lui. Imaginez ce qu’ils ont fait de la sacristie tous les deux !

Allez Robin, on y va ! Ma fille dites moi où me rendre !

Par là mon Père, tendant le bras vers la place du village, Lyris ne peut détacher ses yeux de l’enfant qui s’éloigne en lui tirant la langue.

Eh ben on a pas fini d’entendre parler de ce pti Robin pense Lyris en souriant

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Robin le malin a écrit:: Robin fatigué traîne les pieds. Levant les yeux vers le Prêtre …. Eh ! dites mon père vous croyez qu’il va vouloir de moi mon Papa ?
Mon Père ! Vous lui direz pas hein, heinnnn vous lui direz pas que je suis un coquin ?

Regardant sous la toile son goupil, le gamin se met à fredonner ….

Jamais méchant j’suis un coquin, du soir au matin j’suis un malin……

Vous croyez qu’il a pris femme mon père ? Ma marâtre va-t-elle vouloir de moi ?

Jamais méchant j’suis un coquin, du soir au matin j’suis un malin……

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princesselea a écrit:: De retour du marché et tirant une chariotte pleine de sacs de farine et de bois pour sa fournée du lendemain, Léa croisa un prêtre et un petit garçon étrangers au village. Elle les salua et entendit le jeune garçon chanter un air à tue-tête. Elle lui sourit et lui offrit un petit gateau qu'elle sorti de son baluchon.

Tiens, jeune homme. Tu as l'air d'avoir fait longue route. Tu dois être affamé.

Elle se tourna vers le prêtre, lui accorda un sourire également et continua son chemin.

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Le soir était tombé.
Faster était en taverne avec son épouse et quelques amis, quand Lyris apparut.
Après un long moment d’hésitation, Lyris raconta à Faster son entrevue avec le prêtre.
L’homme n’en cru pas ses oreilles.

Ce n’est pas possible.
Non, ce n’est pas possible.

Lyris lui expliqua que le prêtre lui avait montré l’acte de baptême et que le doute n’était donc pas possible.
Faster avait bien enceinter Clothilde.

Clothilde, Clothilde.

Par Aristote, je crois comprendre.
Son comportement après ce fameux soir.
Sa fuite de notre village natal.

Faster se mis à pleurer.

Comment ai-je put ?

Lyris lui appris que le prêtre était en ce moment à l’église avec le petit.
Il décida donc de s’y rendre.

Arrivait sur place, il rentra mais ne vis personne.
Il se dirigea donc vers la sacristie et y rencontra un curé qui n’était pas le pére Fredstleu.

Bonjour, je suis Faster.

Ha vous voila, vous.
Je vous ai cherché toute la journée.

Je suis désolé, j’ai beaucoup de travail.

A la vue de votre tête, je crois que votre amie, vous a tous raconté.
Vous pouvez être fier de vous.
Priez pour qu’Aristote vous pardonne vos péchés.
Mais votre petit chenapan dort à cette heure.
Repassez demain le prendre.

Puis-je le voir ?

Le prêtre ouvrit alors une porte et laissa entrer Faster.
Ce dernier admira cet enfant inattendu. Puis, il vit quelques choses bouger sous les couvertures.

Mais qu’est ce que……

Ne vous inquiéter pas, c’est son goupil qui dort avec lui.

Un goupil ???
Bon, je passerai demain prendre le petit.
Merci mon père de vous être occupé de lui.

Faster salua le curé et reparti en direction de la taverne.
Comment expliquer à Lancelot ce qui s’étais passer ?

Je prierais pour le salut de votre âme.

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Lancelot22 a écrit:: Lancelot arriva devant la porte de l'église, puis elle s'arreta... Elle ferma les yeux et dit dans un soufle:

Mon Dieu, je savais, au fond de moi que tout était trop beau... Je vous en suplie sonnez moi la force de tenir debout devant cet enfant...

Puis elle respira pronfondément et entra.... L'église était dans l'ombre, seule une clarté venait qu'un coin , une lumière chaude, d'un bon feu : celui qui avait pour role de chauffer une maisonnette en hivert et d'apporter un peu de bonheur et de bien être.

Lancelot s'approcha lentement de l'enfant. Il était étendu près de la cheminée, et dormait paisiblemet. Elle s'assit près de lui, et le contempla un moment. Elle reconnu dans son visage certains traits, qu'elle connaissait par coeur... Seuls des boucles rousses rebelles lui recouvraient le front et les tempes, ne venaient pas de son mari. Elle resta longtemps à le regarder, elle avait besoin de faire cet effort, après tout, ce n'était pas sa faute à lui... Elle sentait son coeur lui faire mal tellement elle fixait l'enfant qui n'était pas d'elle... Elle eut des idées lui vinrent à l'esprit toutes plus horribles les une que les autres... Mais ! En un instant, l'immage de sa fille lui revient... Tout son amour de mère s'engouffra en une seconde dans son coeur et elle se mit à penser que si elle vennait un jour à mourrir, son plus chèr désir serait que quelqu'un vienne prendre sa place et l'aimer autant qu'une mère se doit d'aimer son enfant. cette simple idée, de ce que fut et a ressentit la mère de Robin, dissipa toute sa haine et sa colère pour elle et son fils.
Elle caressa une des mèches du petit garçon, déposa un baiser sur son front et lui chuchota dans son sommeil:
Ne t'inquiètes pas... Je veillerais sur toi...

Elle éssuya une larme qui lui coulait sur la joue et se leva. Puis elle alla allumer un sièrge et prier, pour rassurer Chlothilde... Son enfant était entre de bonnes mains...

Elle se retourna pour sortir et sursauta. Le vieil homme qui avait ammené l'enfant était là, devant elle...

Que faites vous ici ma fille? Vous avez l'air bien troublée, souhaitez vous vous confesser?

Non mon père, je vous remercie...

Alors qu'elle se dirigea vers la sortie, l'homme lui barra la route.

Je sais... vous devez être la femme du père de ce garçon... Je prirais pour vous ce soir, et votre résollution me rend bien aise.... Je vous ai entendue mon enfant.

Lancelot se sentit traversée par les regards de ce pretre, et génée, elle se mit à courir pour sortir de l'église.

Une fois à l'éxtérieur, lorsqu'elle eu courut jusqu'à ne plus avoir de soufle et à bout de force, elle se mit à pleurer.
Ce n'est que en repensant à sa fille, qu'elle se releva. Elle passa devant la maison de chez Lyris. Elle reconut tout de suite les pleures de sa fille, et se précipita chez son amie, pour y retrouver sa petite Elèna et un peu de réconfort, en attendant que le soleil se lève....

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Les heures passées. La nuit fut interminable.
Faster tournait depuis longtemps dans son lit pour essayer de trouver le sommeil, mais en vain.
Son épouse n’était pas la. Il se doutait bien qu’elle était chez Lyris mais sa présence, ainsi que celle de sa fille lui manquait terriblement. Il avant tant besoin d’elle, aujourd’hui, cette nuit, maintenant.
Les images du passé lui hantaient la tête.
Tout lui revenait et expliquait la naissance de cet enfant.
La dispute avec son père.
Cette soirée en taverne ou il se saoula comme jamais.
Sa nuit passée sous les effets de l’alcool avec Clothilde.
Le changement de comportement de celle-ci à partir du lendemain, alors que lui penser avoir rêvé.
La fuite de Clothilde du village deux mois après alors que Faster et Véronique s’était promis l’un à l’autre.

Faster se leva de son lit.

Par Aristote, qu’est je fais ?

Une lumière naissante apparaissait.
Un coq chantait. Le jour se levait.

Bon, je dois assumer mes actes.
Même si je dois pour cela perdre mon épouse.
Jamais, je ne voudrais perdre Lancelot et Elena, mais je dois m’occuper de ce petit.

Il alla s’habillait tout doucement et partis en direction de l’église.
Peux être que son fils était réveillé.

Arrivé à l’église, il se rendit directement à la sacristie.

Que vais-je pouvoir lui dire ?

Il ouvrit la porte.

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L’enfant était debout.
Le prêtre était en train de lui parler quand il s’aperçut que Faster était arrivé.

Bonjour mon enfant, vous voilà.

Robin, Je te présente ton père.
C’est lui qui va s’occuper de toi maintenant.

Il poussa L’enfant vers son père.

Faster ne savait pas quoi dire.

Le curé tendit un sac à Faster.

Voici les quelques affaires qu’il possède.
Je devais vous remettre aussi son acte de baptême, mais je l’ai oublié à l’école hier.
La maitresse est une amie à vous à ce qu’elle m’a dit.
Vous lui demanderez, elle a dut le retrouver.

L’homme alla sur un des lit et prends un baluchon.

Excusez-moi, mais je dois partir.
La route est encore longue pour retourner à mon village.

Il posa sa main sur la tête du petit.

Soyez patient avec lui.
C’est un chenapan, un coquin.
Mais je suis sur qu’au fond de lui, se cache une gentillesse.

Bien mon père.
Ne vous inquiétez pas, je m’occuperai bien de lui.

Le prêtre avant de franchir la porte lui dit.

J’espère qu’Aristote vous pardonnera.

Faster regarda le curé partir, puis il regarda son fils.
Il posa une main sur son épaule.

Robin, prends ton goupil et allons-y.
Je vais te montrer ta nouvelle maison et te présenter à ta nouvelle famille.
Tu a une petite sœur, tu sais.

L’enfant restait silencieux.

Nous avons tant de chose à rattraper.

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Lancelot22 a écrit:: Lancelot revenait d'une longue marche à pieds, qui lui avait fait du bien. Elle tenait sa petite Elèna contre elle marchait pour rentrer chez elle. Quand elle arriva sur la place, elle aperçut faster qui sortait de l'église et Robin qui se tenait près de lui. Elle s'arreta et les regarda de loin.

Un sourire se dessina sur ses lèvres... Ils étaient si beaux tous les deux...
En se disant cela, elle sentit un pincement au coeur. Elle se demandait si elle arriverait à trouver sa place entre les deux... Si malgrès tout sa petite vie de famille pourrait reprendre... Si elle n'était pas de trop...

Elle ne se sentait pas encore tout à fait prete à vérifier ses doutes. Se retrouver en face du fils, seul, elle aurait su comment réagir, mais pas en présence de son mari. De plus, elle était persuadée que avant de faire les présentations, il fallait qu'elle parle à Faster seul à seul....

Elle fut tirée de ses pensées par sa fille qui était à l'âge maintenant où elle testait sa voix en faisant de petits sons incompréhensibles.
Elle rit et l'embrassa.

Bon ma puce, pendant que papa fait visiter la maison, on va aller faire un tour en tavernes.

Nombre de messages : 321 Date d'inscription : 28/05/2007

Faster et Robin avaient passé la journée ensemble.
Après avoir montré à son jeune fils la maison ou il vivait, Faster l’emmena visiter Argonne.
Il lui montra L’école, ou bientôt le garçon pourrait s’instruire.
Puis il l’emmena voir le terrain de soule.

Tu vois mon fils, ici, tu pourras venir encourager notre équipe de soule.

L’enfant ne répondit pas.
Il se demandait ce que pouvait être la soule.

Heu finalement, je ne sais pas si c’est une bonne idée de t’emmener ici les jours de matchs.
Tu es peux être encore un peu jeune.

Ensuite, Le Papa montra à son fils ses champs, ainsi que ceux de son épouse.
Avant de revenir au village, il l’emmena faire un tour en forêt.

Regardes, ici, c’est surement le plus bel endroit d’Argonne.
Je passe de nombreuse journée ici, à couper du bois, à chercher des champignons, ou à se balader avec ta marâtre et ta sœur.
Tu verras, tu y seras heureux toi aussi.

Faster regarda le soleil se coucher.

Il se fait tard.
Rentrons, nous allons passer à la taverne de leslou pour voir si le reste de la famille n’est pas las bas.

Nombre de messages : 321 Date d'inscription : 28/05/2007

En taverne, Faster rencontre ses amis, mais lancelot n’étais pas présente.
Robin y fait moult bêtises.
Il fait des grimaces à Lyris, sette des boulettes de mie de pains sur Redirish et tire un coup de pied à son père.
Il reproche même à son père de ne pas l’aimer et que c’était pour ça qu’il les avait abandonné lui et sa mère.
Faster était consterné, il ne savait pas quoi dire.
Lancelot arrive, le gamin se trouve comme transformé.
Ce dernier se jette dans les bras de la jeune dame en lui demande si c’est bien elle sa marâtre.
Lancelot lui répond que oui, et lui fait un sourire.
Robin passe ses petit bras autour de la taille de l’épouse de son père et pose sa tête sur son ventre.
Faster est surpris.
C’était comme si tous deux se connaissaient depuis toujours.
Cet événement aide Lancelot et Faster à se réconcilier.
Ils peuvent tous rentrer chez eux pour faire plus ample connaissance.

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Robin le malin a écrit:: Il est tôt encore ce matin, Robin a accompagné son père en taverne.
S'ennuyant, l'enfant sort dehors suivi de Vif son goupil.

Pfffffffff, qu'est ce que je pourrais bien faire ? Tiens y'a des vaches là bas. Viens Vif on va les embêter !

Le chenapan part en courant....

Alors les vaches ! ça va ? ben dit'donc il est p'ti votre pâturage. Ca vous dirait une ballade ?

Robin aidé de Vif, qui mord les mollets des vaches, fait sortir les bêtes du champs.

Allez Yah Yahhhhhhh ..... affolées les vaches se ruent dans les rues du village, et s'enfuient dans les bois proches.

Sifflotant Robin reprend son chemin en quète d'une nouvelle bétise.....

Jamais vilain... j'suis coquin.... j'suis Robin le p'ti malin

Nombre de messages : 321 Date d'inscription : 28/05/2007

leslou_1 a écrit:: Bien installé en taverne, avec ses amis, leslou discute tranquillement quand lyris voit passer le troupeau de vaches de Godasse juste devant la taverne.

Leslou sort voir ce qui se passe et suit les vaches qui affolées sont allées dans les bois.

En arrivant dans les bois, leslou essaie de regrouper les vaches et découvre Robin derrière un buisson.

Bonjour robin, tu te souviens de moi, on s'est vu ce matin en taverne, je suis une amie de Lancelot et Faster.

Leslou sourit à l'enfant.

Dis voir est-ce que tu as vu quelque chose, car tu as une super cachette là pour regarder le village ? Les vaches de Godasse ont été lachées ... Est-ce que tu sais qui a fait le coup ?

Nombre de messages : 321 Date d'inscription : 28/05/2007

Robin le malin a écrit:: L' enfant surpris dans sa cachette, lève les yeux vers cette femme qu'il a rencontré le matin même.

Ben, vouaiiii j'suis bien là ! Dites M'dam vous allez rien dire, tu vas pas me dénoncer à mon père ? Hein tu diras rien ?

j'voulais juste m'amuser.... Et pi j'voulais l' embêter mon père et puis ses amis aussi, je l'aime pas mon père....

Dites M'dam t'as pas une pomme j'ai faim et Vif aussi !

Nombre de messages : 321 Date d'inscription : 28/05/2007

leslou_1 a écrit:: Leslou regarde l'enfant et lui sourit ...

Alors c'était toi ?

Elle s'accroupit à côté de lui et le prend dans ses bras.

Non je ne dirais rien, je comprend qu'a ton âge on est envie de s'amuser.

Mais je te demanderais juste d'aller t'excuser auprés de Godasse. Tu sais il a était trés inquiet pour ses vaches, il avait peur qu'une d'entre elle se blesse. Si les vaches sont enfermés c'est pour leur sécurité c'est tout.

Je n'ai pas de pommes avec moi, mais aides moi à ramener toutes les vaches et aprés on ira dans ma taverne et je te donnerais à manger.

D'accord ?

Robin fit oui de la tête et suit leslou et les vaches jusqu'à l'enclos.

Ensuite ils se dirigent vers la taverne de leslou où un repas attend Robin et son goupil.

Nombre de messages : 321 Date d'inscription : 28/05/2007

Quand Leslou et Robin arrivèrent en taverne, Faster venait d’y rentrer.
Il regarda avec surprise les deux personnes pénétrer dans la taverne.

Robin, Leslou.

Il va prendre son fils dans ses bras.

Mais ou étais tu ?
Cela fait deux bonnes heures que l’on te cherche avec Lancelot.
Nous étions si inquiets.

Il regarda Leslou.

Tu l’as trouvé où ce petit ?

Nombre de messages : 321 Date d'inscription : 28/05/2007

leslou_1 a écrit:: En voyant le réaction de Faster leslou le rassure de suite.

Pas de soucis fatser il était avec moi, il m'aider à ramener les vaches de godasse qui se sont échappées.

C'est ma faute j'aurais du vous prévenir Lancelot et toi.

Puis elle sert un repas à Robin comme promis.

Nombre de messages : 321 Date d'inscription : 28/05/2007

Le soir même, en taverne, Robin avoua à son père la bêtise qu’il avait faite dans la journée.
Faster, après avoir fais des remontrances et expliquer à son fils que cela n’étais pas bien, décida d’écrire un mot à Godasse.
Il sait qu’il ne le reverra pas avant son départ en voyage.

Citation :: Cher Godasse,

J’ai appris que tu t’étais disputé cet après-midi avec Leslou, au sujet de Robin.
J’en suis fort navré.
Sache que le petit ce soir, m’a avoué avoir ouvert l’enclos de tes vaches.
J’ai donc du être contraint de le punir.
Il m’a promis de venir s’excuser auprès de toi à notre retour de voyage.
Il t’aidera aussi à nettoyer ton étable.
S’il te plait soit indulgent avec lui.
Ce n’est pas facile en ce moment pour lui.
Perdre sa mère et devoir aller vivre chez un père qu’il ne connait pas, dans un village inconnu doit être déstabilisant.
Alors ne sois pas trop dur avec lui quand il viendra te voir.
J’espère aussi que tu comprendras pourquoi Leslou a pris la défense du petit.
Je te laisse sur ces quelques mots.
Amicalement.

Faster83.

Faster ferma le billet et le tendit à Leslou.

Leslou, s’il te plait, donne ce mot à Godasse demain.

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leslou_1 a écrit:: Leslou saisit la missive et promis à faster de la donner à Godasse dés qu'elle le verrais.

Elle aimerait bien savoir ce que contient ce message, mais le respect qu'elle porte à faster lui interdit de l'ouvrir !!!

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Lancelot22 a écrit:: Lancelot qui était allée se reposer un peu avant le départ, se réveilla doucement après deux petites heures de sommeil.

Puis, se leva pour se préparer à se mettre en route avec le petit monde.

En descendant, elle trouva son mari qui vérifiait que tout était bien là. Elle lui sourit et prépara rapidement une collation pour Robin et son époux et enfin alla réveiller les deux enfants pour pouvoir partir.

Allez bonhomme, lève toi, nous avons de la marche à faire, tu vas voir Reims est la capitale de Champagne. On va voir beaucoup de choses intéréssantes durant notre voyage.

Puis, voyant que Robin n'avait pas une envie folle de se lever elle lui chuchota : Courage, mon chéri, tu verras, cela va être un voyage merveilleux. On va aller voir la mer, et on va être tous les quatre. je suis sur que nous allons bien nous amuser.

Puis elle l'embrassa et alla s'occuper de sa petite Elèna.